Brice et Sonia sont repartis en septembre pour un tour du monde.
Un extrait de leur site...
On avance, on avance, on avance….
La chaîne est installée, on pourra bientôt s’amarrer avec notre bonne ancre du premier voyage que l’on avait tordue aux Iles Selvagens en 2005.
Elle avait fait son travail sur les mouillages suivants. On se dit donc qu’il n’y a aucune raison pour qu’elle nous file entre les algues…
Reste à installer : le régulateur d’allure, de quoi faire de l’énergie avec du vent et du soleil et plein de détails. Pour le reste, cela pourra être géré en voyage.
Administrativement, la liste est longue aussi. Mais d’ici un mois, on devrait y voir plus clair.
A bientôt avec des images.
L’équipage qui a hâte de mettre les voiles.
Leur site :
http://lesenfantsdelatlantique.wordpress.com/
La vie des animaux
La Vie des animaux est une émission animalière de la télévision française de août 1952 à 1966 créée par Frédéric Rossif et présentée par Claude Darget, diffusée le samedi soir sur la chaîne RTF et La première chaîne de l'ORTF. Elle était considérée comme une émission d'une grande qualité.
La pendule avant le début des émissions
Bonne nuit les petits est une série télévisée française en noir et blanc, créée par Claude Laydu et diffusée à partir du 10 décembre 1962 sur RTF Télévision puis sur la première chaîne de l'ORTF.
568 épisodes de 5 minutes et cinq émissions spéciales ont été réalisés entre 1962 et 19731.
Une troisième série, intitulée Nounours, de 78 épisodes de 5 minutes en couleur est diffusée à partir du 23 février 1976 sur Antenne 2.
Une quatrième série de 195 épisodes de 3 minutes en couleur est enfin diffusée à partir du 24 avril 1995 sur France 22.
Elle est rediffusée en 2003 sur France 5 dans l'émission Debout les Zouzous, puis sur TiJi en 2011.
L'indicatif musical du générique de l'émission est tiré d'une œuvre de Giovanni Battista Pergolesi.La Séquence du spectateur était une émission de télévision française d'actualité cinématographique créée par Claude Mionnet et diffusée chaque dimanche sur la RTF, puis sur la première chaîne de l'ORTF, puis sur TF1 du 20 octobre 1953 jusqu'au 11 février 1989.
Il fait partie du record des émissions télévisées de la plus grandes longévités du PAF, après Le Jour du Seigneur, Des chiffres et des lettres, Automoto, Thalassa, Stade 2, 30 millions d'amis et Téléfoot.
Cette émission proposait des extraits et bandes-annonces de films, présentés en voix-off par Catherine Langeais pendant 35 ans, un record pour une voix off française.
Une déclinaison pour les enfants était proposée le jeudi à midi avec La séquence du jeune spectateur présentée par une marionnette prénommée ClaireLes Cinq Dernières Minutes est une série télévisée française créée par Claude Loursais en 155 épisodes étalés sur trois générations. La première série comprend en 56 épisodes, dont 51 en noir et blanc, diffusée du 1er janvier 1958 au 7 novembre 1973 sur RTF Télévision puis la Première chaîne de l'ORTF.
C'est la première longue série d'enquêtes policières de la télévision française.
Elle est fondée sur l'exposition d'une enquête où le spectateur doit, en compagnie de l'inspecteur puis commissaire Antoine Bourrel et de son adjoint Dupuy, rechercher les indices qui permettront à la fin de découvrir le coupable.
Richards Bay (Afrique du Sud)
Les copains sont là depuis une bonne semaine et ils ont eu le temps de s'organiser. Ils partent dès le lendemain de notre arrivée pour un safari dans le parc de Hluhluwe/Imfolozi (prononcer "chluchluwe") situé au nord-ouest de Richards Bay. Ils ont deux places et si nous réussissons à boucler toutes les formalités dans la journée, nous pouvons être du voyage ! Sauf que les expériences des uns et des autres concernant les dites formalités sont loin d'être des exemples de rapidité. Certains ont attendu presque une semaine avant de voir un douanier ou l'officier d'immigration...
La suite sur leur site...
http://aufildesmilles.free.fr/jour_detail.php?art=75
Quelques photos...
Un exemple de panneau routier...
Le célèbre marathon du Médoc 2012 se déroulait samedi 8 septembre dernier, sur le thème de l’Histoire.
Comme tout marathon, 42,195 kilomètres à parcourir. Pourtant, il semblerait que celui-ci soit "le plus long de monde"...
Bizarre, vous avez dit bizarre, comme c'est bizarre...
Marathon thématique et déguisé, le thème "Histoire" avait été retenu cette année.
Dégustations de grands crus, animations et points de dégustations variés (huitres, entrecôte, glaces etc.) jalonnent le parcours.
A peine le temps de se remettre en jambe, qu'il faut déjà s'arrêter...
La marathon du Médoc, ça se vit, ça ne se raconte pas...
Le classement ? Peu importe, mais pour ma part 1826 sur 7395 classés, le tout en 05h10'13".
Cette année, vu la chaleur, que "2 ravitaillements "...
1. MonnaiesAnciennes le 12-12-2012 à 05:45:05 (site)
Bravo pour la photo du jour, bonne journée
amicalement
gege66
2. jakin le 12-12-2012 à 07:08:24 (site)
Compliments pour la photo du jour et bonne continuation.....
Jakin,
Le vendredi 12 octobre 2012, Maruru II est sorti de l'eau pour un carénage de quelques mois...
Travaux prévus, mis à nu de la coque, décapage de l'antifouling et ponçage de la peinture bleue, remise en état du pont, changement des passes-coque, réfection de l'électricité du mat, mise en place de coupe-circuits pour les batteries et …
Maruru II en route pour Hennebont sur le Blavet...
Arrivé à Hennebont, il n'y a plus qu'à attendre pour sortir de l'eau... ET l'attente fut longue...
Maruru II prend la route, direction le chantier Billie Marine et première opération, nettoyage de la coque et le lendemain, dématage...
Maruru II sans son mât, dans son nouvel environnement...
Maruru II sous une bâche vu que le pont n'est plus du tout étanche...
La hauteur sous bâche est assez intéressante pour bosser, mais vu le coup de vent du weekend du 24/25 novembre, cette hauteur est un peu "haute". Donc j'ai diminuer la hauteur.
Parfois les choses ne se passent pas comme on le
voudrait
Parfois l'amour est à sens unique
Parfois un regard fait naître l'amour dans un cœur, mais pas dans l'autre
Et parfois le baiser tant attendu n'arrive jamais
Le temps passe, l'espoir grandit tout en disparaissant
Quelques fois il finit par venir...
Mais très souvent cela finit par une larme
Non, sur des larmes,
Nombreuses, amères et salées
Les larmes de l'amertume
Les larmes du regret aussi
Regret d'avoir tant espéré pour rien
Un rien qui fait mal
Un rien qui force à oublier
Même si au fond il reste toujours une profonde blessure
Ainsi qu'un grand vide...
Un grand vide pour un cœur si plein
Nos amis
Antoine et Annick arrivent le 30 juillet ce qui nous laisse 3 jours pour
trouver un mouillage qui nous convient (gratuit, abrité, sûr pour laisser le
bateau tout seul plusieurs jours, près d'un débarcadère où laisser le kayak en
sécurité et près des commerces si possible), prendre un peu nos marques dans
les alentours et préparer le bateau pour une vie à 4.
Nous tentons la marina "internationale" de Bali située à Benoa
Harbour.
Au moins 4 personnes sont sur le quai pour nous aider à nous amarrer, nous souhaiter la bienvenue tout sourire. C'est sympa mais ça nous paraît un peu trop et nous comprenons pourquoi quand on nous annonce que la nuit dans cette marina ne coûte pas moins de 25 dollars, même pour les 30 petits pieds de Ty Punch !
En fait c'est le même tarif quelle que soit la taille du bateau alors nous larguons les amarres illico pour aller mouiller dehors.
Après avoir
caressé la vase du bas de la quille nous finissons par trouver un petit trou
entre d'autres bateaux. Reste à savoir où débarquer.
Nous laissons vite tomber le débarquement gratuit dans les travaux pour
s'offrir un accès au ponton d'un bateau qui emmène les touristes à Lembongan.
En prime,
nous avons accès à la douche et à l'eau dans un cadre plutôt sympa par rapport
à ce qu'il y a autour de nous.
Voilà, le mouillage est réglé. L'endroit est très moche et bruyant (dans l'axe
de la piste d'aéroport, près de gros travaux) mais c'est gratuit, sûr et pas si
mal placé que ça.
La suite de leur journal de bord, leurs photos...
Cela aurait pu être une semaine de rêve, elle n'a duré que 2 jours.
Donc en ce mois d'août 2012, Maruru 2 devait participer au rassemblement des First 30 dans la Baie de Quiberon.
Départ de Kernevel le lundi 06 au matin pour un transit vers Sauzon à Belle-Ile.
Du vent, un peu de mer qui malmène un estomac et nous arrivons en vue de Sauzon.
Et là, le moteur démarre mais refuse de monter en puissance, puis s'arrête... Redémarrage et rebelote... A mon avis, problème de gasoil...
J'appelle le port de Sauzon pour demander un remorquage, mais Maruru 2 doit encore se rapprocher car l'embarcation du port ne peut pas aller bien loin, (un peu de clapot aussi).
Arrivé au mouillage, je mets les mains dans le gasoil, vérifie le pré-filtre qui est très encrassé !! J'avais déjà connu cela sur le premier Maruru, mais là c'était le gasoil qui ne coulait plus, les robinets étant bouchés par les boues. (bateau de plus de 30 ans, le réservoir jamais nettoyé... Mais j'étais au mouillage à lorient.
Donc là je suis à Sauzon... Vidange partiel du réservoir (erreur à ne pas faire, j'aurai mieux fait de tout vider, je démonte le robinet après avoir pencher le réservoir et là je découvre un gros bouchon de boues/goudron sur le robine.
Je nettoie, remonte le réservoir, fais des essais et tout fonctionne !!
Escale tranquille à Sauzon, demain nous pourrons rejoindre Le Crouesty.
Le lendemain, appareillage, tout est ok.
Dès la sortie de Sauzon, le moteur refait des siennes...
Presque pas de vent, vent dans le nez pour rejoindre Sauzon, je décide de rejoindre Lorient, car je ne me vois pas réparer si Lorient de Lorient au cas où...
Le vent nous pousse vers Lorient, entre un à deux noeuds.
J'entreprends, la vidange complète du réservoir, la couleur du gasoil n'est pas des plus limpide... Rinçage au gasoil, démontage du pré-filtre, changement du filtre à gasoil, remontage du réservoir, plein du réservoir, purge du circuit de gasoil et essai, mais le problème demeure et je finis par casser la vis de purge...
Je range les outils, plus rien à faire dans ce cas, n'ayant pas moyen d'extraire la vis.
Entre temps, le vent s'est un peu levé, (nous avançons à 2, 3 et même 4 noeuds) et nous pousse vers Lorient après être resté un bon moment scotché près du plateau des Birvideaux...
Que faire si le vent faiblit encore ? La renverse de la marée est vers 21h00 pour rentrer dans les passes de Port-Louis, donc contre le courant.
Pas de possibilité de demander un remorquage par le port de Kernevel, pas de bateau autour de nous pour un éventuel remorquage...
Mouillé et attendre le lendemain, mais le vent est prévu de tourné à l'est (tout en restant faible en fin de nuit) donc tirer des bords dans les passes de Port-Louis sans pouvoir éventuellement démarrer le moteur ? Faire des ronds dans l'eau ?
Au final, je prends la décision de demander assistance au CROSSA Etel.
Problème de VHF, ils me reçoivent très bien, mais pas moi... Ayant rentré leur numéro de téléphone sur mon portable, je les appelle et demande donc assistance.
C'est la vedette de la SNSM de Locmiquélic qui vient nous chercher... et nous remorque...
Après une jolie manoeuvre nous sommes amarrés au quai d'honneur de Kernevel, et nous offrons le pot de l'amitié à l'équipage du Contre-Amiral Noël.
Et le lendemain, Maruru 2 retourne à son poste d'amarrage avec l'aide d'un zodiac du port de Kernevel.
Le lendemain, un mécano arrive, démonte le porte-filtre pour enlever la vis cassée qui me confirme que cette vis est extrêmement fragile !!
J'en profite pour démonter une fois de plus le réservoir, l'amener à la maison et le nettoyer, mais une erreur de plus, je le mets à sécher en plein soleil...
Une journée plus tard, le mécano remonte, change le filtre à gasoil, je remonte le réservoir etle moteur repart presque sans problème...
Lorsque j'ai purgé le cicuit de gasoil en mer, j'aurai dû le purger plusieurs fois, je ne l'avais fait qu'une fois !!
Mais les problèmes ne sont pas finis !! Le réservoir fuit maintenant, une soudure défectueuse qui s'est agrandis lorsque je l'ai mis à sécher au soleil. Donc redémontage du réservoir et envoie chez le mécano pour refaire cette soudure, mais bien sûr, le soudeur est en vacances...
1. Le Monde de Sylvie le 27-08-2012 à 18:38:46 (site)
Elle est pas belle la vie de marin ... à voile !!???
Qui n'a pas chanté cette chanson dans les années 1970 ?
Graeme Allwright, né le 7 novembre 1926 à Wellington, est un chanteur, adaptateur de chansons, et auteur-compositeur néo-zélandais.
Ayant obtenu une bourse pour intégrer une compagnie de théâtre (Old Vic theater), il vient à Londres en s'engageant comme mousse sur un bateau, puis s'installe en 1948 en France. En 1951, à Pernand-Vergelesses (Côte-d'Or), il épouse Catherine Dasté qu'il a connue à Londres. Graeme exerce de nombreux métiers, de la scène à la régie, il devient apiculteur, animateur pour enfants à l'hôpital, professeur d'anglais (avec Philippe Lavil pour élève) et de théâtre dans un internat à Dieulefit.
Encouragé par ses amis stéphanois amateurs de blues et qu'il charme depuis des années par ses ballades anglaises, il monte à Paris au début des années soixante et chante dans des cabarets (notamment à La Contrescarpe).
Les conditions sont dures, mais il rode souvent ses chansons chez d'autres amis peintres ou sculpteurs à La Ruche (Montparnasse).
Il est alors fidèlement accompagné par le guitariste stéphanois Genny Detto.
Au centre américain de la rue Raspail, il retrouve bientôt deux musiciens de folk traditionnel, et le talent de Graeme finit par séduire Mouloudji qui le pousse à enregistrer un premier disque resté confidentiel : Le Trimardeur, en 1965.
Premier contrat avec Philips, nouvel album en 1966.
Cette fois, ça marche nettement mieux.
On peut dire que Graeme Allwright est un des premiers introducteurs en France du folk américain, dans sa veine protest-song.
Il contribue également largement, par ses adaptations très fidèles de Leonard Cohen, à faire découvrir ce dernier au public français.
Dans le sens inverse, il interprète en 1985 des adaptations en anglais de chansons de Georges Brassens faites en collaboration avec Andrew Kelly.
Ses textes où l'émotion, la dénonciation moqueuse du conformisme ou des injustices et les appels à la liberté se conjuguent à des mélodies "country" ou "blues", remportent l'adhésion d'un public de tout âge, par-delà les modes.
Mais, dépassé par son succès, craignant la pression du show-bizz, de perdre de sa liberté, il préfère multiplier les voyages à l'étranger, au cours desquels il enregistre aussi des albums. En 1971, il marche seul pendant un mois dans l'Himalaya, il y découvre un village isolé et s'y sent beaucoup plus utile que sur une scène...
Un peu plus tard, il découvre La Réunion, où il vit pendant un an et demi.
L'album Questions lui est en grande partie consacré.
Il y fait la rencontre d'excellents artistes malgaches (dont Erick Manana et Dina Rakotomanga) qui dès lors l'accompagneront très souvent lors de ses tournées en France.
Il a adapté plusieurs chansons de Léonard Cohen qu'il a contribué à faire découvrir par le public francophone (Suzanne, L'étranger, Demain sera bien, etc.), de Bob Dylan (Qui a tué Davy Moore ?), de Tom Paxton (Sacrée bouteille), de Pete Seeger (Jusqu'à la ceinture), ainsi que de Malvina Reynolds (Petites boîtes).
Mais Graeme Allwright s'inscrit surtout dans la lignée de Woody Guthrie et de Pete Seeger dont il a adapté de nombreux textes, dont sa première chanson "Le Trimardeur" (Hard Travelin'), "Le clochard américain", "La femme du mineur", "La mouche bleue" etc. Ses « classiques » (Petit garçon, qui est une adaptation en français de la chanson Old Toy Trains de Roger Miller, Il faut que je m'en aille (Les Retrouvailles), etc.) sont connus de plusieurs générations même si le nom de leur auteur est souvent ignoré.
En 1980, Graeme chante avec Maxime Le Forestier. Le bénéfice des concerts et du double album est entièrement reversé à l'association Partage pour les enfants du Tiers monde, fondée par Pierre Marchand, que Graeme Allwright a longtemps soutenue.
Dans les années 2000, il ajoute le jazz, passion de son adolescence, à son répertoire (album Tant de joies avec le Glenn Ferris Quartet).
En 2005, il replonge à sa source en effectuant une tournée en Nouvelle-Zélande, son pays d'origine où il était totalement inconnu.
Il offre toujours régulièrement dans les p'tits patelins de chaleureux concerts, au cours desquels, en toute simplicité et dans une intense empathie, il communique sa quête d'une étoile qu'il n'a jamais vraiment nommée.
Il est membre du comité de parrainage de la Coordination française pour la Décennie de la culture de paix et de non-violence.
1. seringa le 10-07-2012 à 08:08:10 (site)
Ns avons eu la chance d'assister au concert qu'il a donné avec l'école de Musique de Carprentras, en Décembre2010.Un pur bonheur.
La salle qui reprenait tous ses tubes avec lui...de grands moments d'émotion.Quand il a chanté "Ds son manteau rouge et blanc, sur un traîneau..." et "Tit' fleur fanée ",(célèbre à la Réunion), les larmes coulaient sur de nombreuses joues...On l'écoute souvent à la maison...Merci et bonne journée.S.
Plus de photos :
https://picasaweb.google.com/100840473611274582114/VolvoOceaneRace30JuinEt01Juillet2012
Quelques vieux bateaux se sont amarrés à Lorient à l'occasion de la VOLVO OCEANE RACE et d'autres plus récents ce qui confirme que Lorient devient la "Sailing Valley" (Vallée de la voile) qui s'étend de Vannes au sud à Quimper au nord...
Une cinquantaine d'entreprises, toutes liées au nautisme et représentant environ un millier d'emplois, y sont implantées et de nombreux navigateurs, amateurs ou stars, en ont fait leur port d'attache. Franck Cammas a emboîté le pas d'Alain Gautier dès 1997, avant d'être rejoint notamment par Jean-Pierre Dick, Yann Eliès, Samantha Davies, Pascal Bidégorry ou encore Jérémy Beyou...
L'Etoile du Roy
GROUPAMA
TELEPHONICA
Schubert - Piano trio n° 2...
Albinoni- Adagio in G Minor
Beethoven - 9ème symphonie, 4ème mouvement
Mozart - La petite musique de nuit
Les 6 bateaux sont arrivés le vendredi 15 juin 2012 à Lorient en provenance de Lisbonne. "Groupama, Sanya, Abu Dhabi, Camper, Puma et Telefonica".
La ville de Lorient en profite pour accueillir de nombreux vieux gréments dont le Belem.
Le départ à eu lieu à ALICANTE en Espagne le samedi 05 novembre 2011.
Les différentes escales :
CAPE TOWN en Afrique du Sud, ABU DHABI aux Emirats Arabes Unis, SANYA en Chine, AUCKLAND en Nouvelle-Zélande, ITAJAI au Brésil, MIAMI aux Etats-Unis, LISBONNE au Portugal, LORIENT en France et GALWAY en Irlande.
Camper arrive dans la rade de Lorient
Puma arrive à son tour dans la rade de Lorient
Le Belem s'apprête à franchir la passe devant la citadelle de Port-Louis.
Le site de la Volvo Oceance Race :
http://www.volvooceanrace.com/fr/home.html
Plus de photos sur l'arrivée...
Le vendredi 18 mai, le Yacht Club de Quiberon organisait une régate à laquelle participaient des RUSH. Etait également invité les FIRST 30.
Maruru II était le seul FIRST 30 à participer à cette régate, et à donc terminer premier de sa catégorie... Mais dernier dans le classement général...
Maruru II fera mieux l'année prochaine.
Les conditions météo n'étaient pas fameuses... 20 noeuds de vent avec rafale à 32 noeud.
Les améliorations à apporter pour une future régate...
Une carène propre, déplacer l'ancre et la chaîne à l'intérieur du bateau, sortir les bidons de gasoil (3x20 litres à l'arrière), ne pas faire le plein d'eau douce avant la régate (100 litres au dessus du moteur), mettre l'étai largable, mais ne pas prendre de ris dans la grande voileet éventuellement être 3, un barreur et 2 équipiers.
Et puis, préparer les parcours,et surtout ne pas louper le départ !!! Première manche, Maruru II a passé la ligne avec 5 minutes de retard sur les premiers...
Donc, on ne peut que s'améliorer...
Je dois dire pour ma défense, que c'était ma première régate.
L'entrée de Port-Haliguen
Maruru II à quai à Port-Haliguen
Jean-Michel et Michel, de retour sur Lorient
Plus de photos...
https://picasaweb.google.com/100840473611274582114/20120519_RegateRUSHCUP
"Prends ma main. Ne la lâche pas.
J'écouterai ce que tu veux me dire.
Si tu préfères te taire, j'entendrai ton silence.
Si tu ris, je rirai avec toi, mais jamais de toi…
Si tu es triste, j'essayerai de te consoler.
Je ferai pour toi des bouquets de soleil.
J'allumerai des feux de joie là où chacun ne voyait
plus que des cendres.
Si je n'ai qu'une rose, je te la donnerai.
Si je n'ai qu'un chardon, je le garderai pour moi.
Je te donnerai ce qui te plaît, ce qui te rassure le plus si je le possède.
Si je ne le possède pas, j'essayerai de l'acquérir.
Donne-moi la main. Nous irons où tu voudras.
Je te ferai entendre la musique que j'aime.
Si tu ne l'aimes pas, j'écouterai la tienne… J'essayerai de l'aimer
!
Je t'apprendrai ce que je sais. C'est peu.
Tu m'apprendras ce que tu sais. C'est beaucoup.
Ne dis pas que tu ne sais rien : cela n'existe pas, quelqu'un
qui ne sait rien… ou alors, si cela existe, tant mieux car ce serait quelqu'un
comme un jardin sauvage, un jardin à naître où l'on peut rêver mille jardins…
comme… comme un enfant à venir, un enfant espéré : ce serait la vie devant soi,
ronde, inattaquée, comme une boule de Noël.
Prends ma main.
Cinq doigts refermés autour des nôtres, c'est le plus beau cadeau du monde.
Cela nous préserve de la peur, de l'abandon, du doute.
Une
main offerte, c'est un monde nouveau.
Tu es toi. Je suis ce que je suis.
Je ne troublerai pas ta musique intérieure.
Je ne me blesserai pas de tes silences.
Tu respecteras les miens.
Je ne t'assassinerai pas de "pourquoi ?".
Tu ne diras pas que je fais des
fausses notes si je ne pense pas comme toi…
Donne-moi la main.
Nous irons avec la vie, comme le sable, le temps et l'eau : entre source et delta.
Différents et si proches à la fois…"
Un texte de Simone Conduché, Les chemins de tendresse
N'attends rien.
Reçois ce que la vie te donne,
Sinon, les frustrations et déceptions arrivent...
[D R-G]
Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas, c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.
Tu as choisis les portes de la liberté, mais elles vont souvent avec la solitude...
[Nicole Van de Kerchove]
1. junckers_be le 07-11-2012 à 11:15:50
... et c'est ainsi qu'elle est partie, au bord de ce lac de los Dientes sur l'île de Navarino... dans ce décor minéral, sur un dernier baiser que je garderai toujours sur mes lèvres...
Roger
Francis Cabrel nait le 23 novembre 1953 à Agen dans une famille modeste originaire du Frioul en Italie, d'un père ouvrier dans une biscuiterie et d'une mère caissière dans une cafétéria.
Il a une sœur, Martine, et un frère, Philippe. Il passe son enfance à Astaffort, dans le Lot-et-Garonne.
À treize ans, il entend pour la première fois Like a Rolling Stone de Bob Dylan à la radio ; une découverte qui aura une influence majeure dans sa carrière. À Noël, son oncle Freddy lui offre une guitare ; il se met ainsi à composer ses premiers morceaux afin de lutter contre sa timidité.
Il se met alors à reprendre les chansons de Neil Young, Leonard Cohen et évidemment Bob Dylan, apprenant l'anglais en traduisant les paroles.
Il racontera plus tard qu'il pensait que sa guitare lui permettait de se rendre plus intéressant aux yeux des autres.
À 17 ans, il commence à monter plusieurs groupes de folk rock mais ceux-ci ne tiennent pas longtemps.
Renvoyé du lycée Bernard Palissy d'Agen pour indiscipline, il part travailler à 19 ans dans un magasin de chaussures tout en jouant dans des bals locaux avec un groupe « Ray Frank et les Jazzmen ».
Le groupe se renomme par la suite "les Gaulois" à cause des moustaches de chacun des membres. En effet, à cette époque, Cabrel arbore un style hippie, cheveux longs et moustaches.
En 1974, à Toulouse, il participe à un concours de chanson de Sud Radio durant lequel se succèdent 400 candidats devant un jury composé notamment de Daniel et Richard Seff. Sa chanson Petite Marie (album Les Murs de poussière), dédiée à sa femme Mariette, lui permet de gagner le concours et le prix de 2000 francs. De plus, les frères Seff lui ouvrent les portes de la firme CBS.
Managé en début de carrière par Jacques Marouani, c'est ensuite à Maurice Tejedor - producteur de spectacles dans le grand Sud-Ouest, avec qui il lie des liens amicaux au cours d'une mini-tournée - qu'il confie l'organisation de ses spectacles et de ses tournées.
Une aventure de plusieurs années qui les conduira de la scène de l'Olympia à celles de l'Hexagone, mais aussi de la Suisse, de la Belgique, de l'ancienne Allemagne de l'Ouest et de Berlin-Est, du Québec, Tahiti, la Nouvelle-Calédonie, la Réunion, Maurice, etc.
L'équipage de Banque populaire a battu le record autour du monde en 45 jours 13 heures 42 minutes 53 secondes.
Pour ma part, je leurs tire mon chapeau, respect messieurs !!!
L'équipage de Banque populaire V :
Thierry Duprey Du Vorsent - Jean-Baptiste Le Vaillant - Marcel van Triest - Juan Vila - Brian Thompson - Xavier Revil - Yvan Ravussin - Pierre-Yves Moreau - Ronan Lucas - Frédéric Le Peutrec - Emmanuel Le Borgne - Kévin Escoffier - Florent Chastel - Thierry Chabagny - Loïck Peyron.
Quelques photos de l'arrivée à Lorient le dimanche 08 janvier 2012 à 17h45.
Plus de photos ? Alors :
https://picasaweb.google.com/100840473611274582114/LArriveeDeBanquePopulaireVALorient
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